La crise sanitaire du Covid-19 force au constat suivant : rien ne sera plus véritablement comme avant ! Certains analystes vont jusqu’à annoncer que c’est peut-être la fin du capitalisme néo-libéral tel que nous le connaissons et qui a façonné la société mondialisée dans laquelle nous vivons depuis les années 80.
Le monde prend conscience que nos systèmes de consommation effrénés ont atteint leurs limites tant sur le plan social qu’environnemental. La mondialisation devra trouver un nouvel équilibre plus neutre en carbone et moins vorace en transport et en matières premières.
La régénération apportera sa pierre à l’édification du monde de demain et s’imposera en faveur d’un modèle plus vertueux, plus résilient.
Constat : l’efficacité des solutions de recyclage des déchets est modeste
Dans le monde d’aujourd’hui, la vie d’un produit se décline en trois phases : sa production et sa distribution, son utilisation et enfin dans le meilleur des cas de son recyclage (bien que, selon un rapport de la Banque Mondiale, seuls 33% des déchets seraient traités correctement).
D’un côté, la logique industrielle pousse à l’obsolescence programmée pour alimenter le modèle consumériste mondialisé ; à l’autre bout de la chaîne, cette même logique industrielle promeut le recyclage des déchets par des structures lourdes et hautement capitalistiques qui rassure les élus, mais dont l’efficacité effective reste très modeste ! Il suffit de compter les bouteilles en plastique sur les plages pour le constater : cela ne marche pas ! Les industriels producteurs ne doivent plus trouver, en leurs cousins industriels du recyclage, le sauf-conduit ou le visa vers la croissance infinie qui, de toute façon, est impossible.
La régénération au service de l’environnement, de l’emploi et de la réutilisation
Les grands oubliés de cette organisation sont le réemploi et la réutilisation !
Le bon sens des grands-mères de faire durer les biens le plus longtemps possible.
Le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas ! Dans cette optique, la régénération permet justement de repousser « l’étape déchet ».
Régénérer sa batterie ou son huile, c’est doubler ou tripler sa durée de vie et éviter de façon massive la production de déchets industriels.
Le bilan carbone d’une régénération de batterie est actuellement à l’étude par un cabinet spécialisé français spécialement mandaté par Be Energy. Bien que les résultats ne soient pas encore disponibles, il est très facile de considérer que régénérer sa batterie est 100 fois (1000 fois ?) moins impactant sur le plan environnemental que de remplacer sa batterie par une neuve qui a déjà parcouru des milliers de kilomètres, et de faire recycler l’ancienne dans un site pyrométallurgique situé lui aussi a des milliers de kilomètres…
Be Energy adopte une nouvelle signature et un nouveau logo :
Be Energy – We Are Regen.
Innover, développer, déployer des systèmes de régénération qui, sur leur territoire :
- Apporteront une solution alternative économique de l’ordre de 50 à 60% moins cher que le neuf
- Réduiront massivement la production de déchets industriels dangereux souvent sur des territoires dépourvus de structure adaptée
- Créeront des emplois nouveaux dans le cadre d’une activité locale s’inscrivant dans une économie circulaire plus vertueuse et respectueuse de l’environnement
- Réduiront l’empreinte carbone des territoires et leur émission de gaz à effet de serre.
Be Energy revisite également la fameuse stratégie des 3R impulsée pour la première fois le 22 avril 1970 – et dont l’anniversaire chaque année est fêté le 22 avril par la journée mondiale de la Terre – stratégie qui se résume en Réduire / Réutiliser / Recycler.
La théorie des 3R- version 2.0 de Be Energy – devient : Réduire / Réutiliser / Régénérer !
En espérant que cela inspirera de nombreux porteurs de projets pour le rayonnement de la régénération dans le nouveau monde de demain !
